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Skikdamag a le plaisir de vous proposer un nouveau récit d’Amor ” l’auribeaudois”, récit plein de vie et de couleurs qui nous permet d’assister à un mariage au bled, dans la plus pure tradition d’autrefois.
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Bravo pour ce récit.
Ayant quitté ma mechta natale (Djenane El Aneb, plus bas que Bissy et à 3km environ de l’intersection Skikda-Beni Béchir) il y a plus que 50 ans, je ne garde que quelques souvenirs assez vagues de ces fêtes de mariage. Des cousines plus âgées que moi m’avaient raconté quelques rituels que vous décrivez admirablement dans votre texte (les proches de la mariée qui résistent aux accompagnateurs de la famille de « lariss »). L’un de ces rites m’a beaucoup impressionné : d’après ce qu’on m’avait dit, à l’époque, la famille de laroussa faisait passer les convives sous une panse de bête dont on vidait le contenu sur leur tête… On se devait d’arracher la mariée à sa famille sans subir trop de pertes, ni perdre son honneur… Difficile à imaginer par les temps qui courent.
Merci pour ce récit car, à ce jour, je garde encore le goût de la merqa (on utilise le « qaf » contrairement à nos voisins azzabis et auribeois qui usent du « Ga ») d’un couscous que j’ai consommé à Aïn Nechma, vers 1963-1964, chez des proches à feue ma grand-mère (elle est originaire de ce lieudit et son nom de famille est Bouaïta)… Bien entendu, nous avons fait le trajet à pied de Djenane El Aneb à cet endroit et notre départ s’est effectué à l’aube…
Merci encore pour ce texte qui ravive en nous des souvenirs enfouis que la vie dans les grands villes a failli gommer de nos mémoires.
A. LAIB
salut et saha kamel
bravo
Amor a écrit là une bien belle histoire vivante, colorée et authentique Félicitations sincères !
Mais savez vous qu’il en a écrites bien d’autres ; Vous qui aimez ces témoignages, allez les retrouver sur skikdamag bien sûr; je vous cite quelques titres: Il était une fois Auribeau;/ la légende de la source;/ les cyclamen/; une humble famille ou encore le mûrier ou les étourneaux…Pour les retrouver , c’est facile: allez sur Google, tapez skikdamag et à côté le titre du récit. Vous serez étonné par la richesse de tous ces récits !! Bonnes lectures
Claude STEF.
Cette photo est authentique : le paysage représente, en haut de la colline, la « DECHRA » de la mariée ; en arrière-plan, on aperçoit le MAZEUR.
La personne en médaillon est la grand-mère de l’auteur du récit, elle a assisté à ce mariage.
yatiquik assaha, bravo
Il n’y a que ceux qui ont vécu Cette Terre pour comprendre le sens profond de ces rites. Rien n’est perdu, tout doit être conservé justement par des écrits de ce genre et surtout rassembler les us et coutumes en un lieu commun sorte de musée dans l’immortalité. Il est impossible d’empêcher l’évolution des traditions d’une population, mais il est possible d’en conserver les rites au sein d’associations qui les font perdurer. Joli récits, belle plume pour décrire un peu de ce que j’ai vécu dans le sud Constantinois. Il ne me manque que la recette de la « marga » moi grand amateur de recettes du terroir de ma terre natale. Gérard.
Louanges aux « Chitanes de l’Informatique » ! Enfin, la barre verticale s’affiche et je peux m’inviter aux commentaires. (Suis-je bien le seul à galérer ainsi ?)
Toutes mes félicitations à Si Amor « l’Auribeaudois d’Aïn Charchar » que nous retrouvons avec grand plaisir pour lire sa riche et authentique prose des plus descriptives.
Merci Amor de nous faire parvenir ces éléments de Culture que beaucoup (tout comme moi) découvrent mieux à travers ton récit. Quelle richesse tu nous livres là, bravo à toi.
Continue de nous nourrir des us et coutumes de gens ayant partagé le même soleil, ayant respiré le même air. Il n’est jamais trop tard pour nous écouter vivre, pour nous découvrir encore.
GDM
BRAVO…. MAGNIFIQUE : MERCI