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Racontez-nous des histoires, des anecdotes, des aventures… Faites revivre des personnages de l’époque. Fouillez dans vos tiroirs ouvrez vos albums de photos. Vous avez sûrement envie de nous rappeler de merveilleux souvenirs de jeunesse.

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En nous envoyant (à l’adresse e-mail suivante : skikdamag@aliceadsl.fr) un texte (photos éventuellement), traitant impérativement de PHILIPPEVILLE sur les thèmes suivants : Histoires, traditions, légendes, personnages, anecdotes, récits, gastronomie.

Ces textes devront être originaux et seront éventuellement publiés sous la signature de leurs auteurs.

Dans l’attente,

Amicalement votre.

Skikdamag

 

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Skikda : Glissements de terrain


Une étude sur les glissements de terrain à Skikda
Les séquelles des glissements de terrains, qui ont touché l’hiver dernier plusieurs cités de la ville de Skikda, sont toujours d’actualité.

Les ruines des bâtisses, qui s’étaient écroulées, les fissurations des routes et les éboulis des talus sont encore visibles pour témoigner de l’importance du sinistre. L’ampleur du phénomène avait, à titre de rappel, vivement inquiété les pouvoirs publics qui se sont retrouvés devant un fait accompli causé par des années d’insouciance dans la gestion de l’espace urbain de la ville et par une grande anarchie relevée dans l’accaparement des sols et de leur urbanisation. Skikda avait alors commencé à s’effriter à vue d’œil. Que ce soit au centre-ville même ou aux quartiers périphériques, les constats étaient les mêmes, faisant dire à des experts nationaux que « la situation de glissements de terrains à Skikda risque d’être plus importance que celle vécue par la ville de Constantine. » Après les premiers constats, les élus de l’APW avaient laissé comprendre qu’ils allaient saisir les autorités centrales pour « déclarer la wilaya de Skikda zone sinistrée ». Ils se rétracteront par la suite pour tenter de se substituer à l’administration et jouer aux administrateurs à travers une batterie de correspondances adressées à différents ministères. Une année après, le phénomène d’éboulement est toujours présent, puisque la ville a enregistré dernièrement d’autres éboulements. Ils sont de moindre envergure certes, mais ils sont venus rappeler aux uns et aux autres que la situation mériterait une attention plus accrue. Entre temps, les autorités locales avaient lancé un appel d’offres national et international en vue de prendre le phénomène en charge. L’étendue du phénomène d’éboulement et sa gravité ont emmené les responsables à opter d’abord pour la réalisation d’une étude globale des régions touchées pour aboutir à un ensemble de recommandations. Cette étude, recommandée par plusieurs experts et instances officielles vient d’être engagée. Après les opérations d’usage relatives à ce genre de marché, Terrasol, un bureau d’études français a été retenu et a déjà entamé ses travaux il y a plus d’un mois, en enclenchant un grand programme de sondage (carottage) des sols des régions les plus affectées par les glissements de terrain. Ces régions ont été scindées en six zones : la Corniche de Stora, la résidence, Beni Malek, le Mont Mouader, Oued El Ouahch et Boulkeroua. Selon les informations rapportées par la cellule de communication de la wilaya, l’étude devrait être achevée avant la fin de l’année.

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L’Athlétisme à Philippeville


ATHLETISME Féminin :

Hécatombe de records ! Nos Philippevilloises à l’Honneur.

 

Le 10 mai 1950, en dépit d’une forte chaleur, les épreuves d’athlétisme furent vivement disputées dans une atmosphère d’émulation remarquable.

Chez les juniors, Paule BOUGAREL, dans un excellent style pulvérisa le record départemental du 80 mètres en 10 secondes et 9 dixièmes.

A noter également les performances de Mesdemoiselles :

BAJAVON au 60 mètres, minimes, en 8 secondes et 6 dixièmes.

BIGNONEAU au lancer du poids, en cadettes, avec 9 mètres 38 et au saut en longueur avec 4 mètres 70.

PRADERE au saut en hauteur, en cadettes, avec 1 mètre 20.

CREMIEU au 500 mètres, en cadettes, en 1 minute 35 (record).

HEYBERGER au lancer du poids, en cadettes, avec 10 mètres 27.

RICARDO au lancer de javelot, en seniors, avec 22 mètres 70.

 

Bravo Mesdemoiselles !

Sur ces photos : Reconnaissez-vous  nos jeunes et talentueuses Philippevilloises ?

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Le Basket à Philippeville


Il n’y avait pas que le football à Philippeville: Première équipe de basket: l’Espérance sportive, créée en 1936; le premier président en fut M. Kessler ( le stade.!..), l’entraîneur: Bourgarelle.

Après la seconde guerre mondiale, le club se scinda en deux parties, l’une rejoignit le RCP, l’autre, l’EJP, ce qui renforça encore  la rivalité locale entre les 2 clubs.

Parmi les joueurs les plus remarqués, il faut citer Faménias, Pinelli, les frères Spennato, Robert et Williams et le grand Tatania au Racing; Ramousse, Illiano René, Jacques Ferri, Yvon Taliercio à l’Etoile. Les scores n’étaient pas pléthoriques à l’époque, témoin ce ..32 à 30 en faveur du Racing

Sur cette photo : les reconnaissez-vous ? Utilisez la rubrique ajouter un commentaire pour faire connaître votre réponse.

L'Equipe de basket du Racing

 

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Le Saviez-vous ?


 

Le saviez-vous ?

– La Société des courses, Directeur Charles BLANCHET, est créée en juillet 1929; le Parc des Sports, « notre Stade Municipal «  est érigé au bout des Allées Barrot, réalisé par Charles MONTALAND. La construction du nouveau Collège colonial de garçons, qui deviendra le Lycée Dominique LUCIANI, commence cette même année.

 – Place des Calèches «  le nouveau Théâtre » est inauguré  en 1930. Cette même année le Docteur PLACET fonde l’oeuvre de "la Goutte de lait".

 – En 1931, création du Dispensaire Communal, de la "Maison du Colon" et surtout commence la construction de notre grandiose Hôtel de Ville, au style néo – mauresque, oeuvre de Charles MONTALAND.

– En 1923, le populaire Jean SCIALO, pur Philippevillois, était vainqueur pour la première fois du cross de l’Echo d’Alger, qu’il devait remporter 6 fois consécutivement. Et en 1929 au cours de la manifestation sportive organisée par le Racing Club Philippevillois, avec la participation de l’ AS.Saint-Eugène et du RUA, ( Racing Universitaire Algérois ) "Jeannot" devait s’illustrer encore en battant sur 3.000m le célèbre  Jules LADOUMEGUE !

 

le saviez – vous ?

–  l’Ecole mixte du Beni – Melek est créée en 1919.

–  l’Ecole Jules Ferry ouvre en 1920; la même année, Paul CUTTOLI est élu Sénateur Maire à une écrasante majorité (248 voix sur 252 votants) et le Monument aux Morts, dû  à l’artiste ALAPHILIPPE est inauguré. Précisons que ce Monument a été " rapatrié " à TOULOUSE, au cimetière des Minimes .

  

Dodophe : Une figure légendaire … et combien attachante !

Comme toutes les villes méditerranéennes, Phville avait ses "figures"…Parmi eux, Dodophe le borgne. De son vrai nom Reguignon, Dodophe, un inconditionnel du Racing, était un truculent personnage qui proposait ses haricots de mer " haricots co co, à l’ail et au persil.." ou quelque jeu de hasard, promenant ses deux sacoches à tchic tchic dans les bars de la cité à l’heure de la sacro sainte anisette (la nuche) l’une contenait les figures, l’autre les cartes, qu’il présentait aux joueurs selon la demande pour les abuser ; Dodophe était aussi un excellent tireur à la boule "lyonnaise"; il pratiquait à la Boule Amicale, sur le port, et quand il était à jeun (ça lui arrivait…parfois) ratait rarement sa cible, malgré son œil guitche. 

Il invoquait souvent Sainte Thérèse, la rendant responsable de ses échecs aux boules ou…de ses infortunes conjugales : va sahouar ?

Le saviez-vous ?

Le fameux « PICON », que tout le monde connaît, a été "inventé" à Philippeville en 1837 par  Gaëtan PICON ,un militaire, pour lutter contre la fièvre " maligne" dont il souffrait. A base d’écorces d’oranges amères ,cette" tisane" est devenue célèbre, d’abord sous le nom « d’Amer algérien » puis  « d’Amer Picon » et enfin PICON tout court…

Claude

Le saviez-vous ?

Les premiers obus de la guerre 14/18 sont tombés sur le port de Philippeville le 4 août 1914 à 5h10, tirés par le croiseur cuirassé allemand "Goeben". On dénombra 13 tués et de nombreux blessés. Le canon du Fort d’ El Kantara qui riposta et obligea le navire à prendre le fuite est exposé aux Invalides, Cour de la Victoire. Rare privilège obtenu par notre concitoyen M. MAURER après bien des démarches …

Claude

 

Pierre Blanchard, comédien de talent, est né à Philippeville en 1896. Il    décèdera en 1963.

Le célèbre Edmond Brua ( La Parodie du Cid, Fables bônoises  entre autres…) naît dans notre Cité le 15 novembre 1901, dans une famille de…15 enfants.

Le 24 avril 1903, visite du Président Loubet.

Paul Cuttoli est élu député en 1906.

L’école Ferdinand Buisson reçoit ses premiers élèves en 1909.

D’origine modeste, Alphonse Juin, futur maréchal de France, est né le 16 décembre 1888 à Bône, à 101 kilomètres de Philippeville, d’une mère corse et d’un père vendéen, gendarme de son état.
Boursier, il effectue ses études secondaires à Constantine, puis à Alger. En 1909, il entre à l’école militaire de Saint-Cyr où il a pour condisciple Charles de Gaulle. Il en sort major et reçoit

ses galons de sous-lieutenant le 1er octobre 1912.

Le maréchal Juin s’éteint au Val de Grâce le 27janvier 1967 à l’age de 78 ans.

 

M.Albert Teissier est réélu Maire en 1912.

– Philippeville accueillit de nombreux étrangers durant la guerre 14/18, particulièrement des Serbes et des Brésiliens; ceux-ci organisèrent, en 1918 le jour de Carnaval, un défilé à la "Sud – Américaine" qui traversa toute la ville ! On prétend que le fameux "bomatchicabo" du Racing viendrait du brésilien accommodé à la mode de "chez nous z’ autres"…    Va Sa’oir… 

 

Claude Cacciuttolo nous rappelle l’anecdote concernant le veau marin qui était entré dans le port pour donner naissance à son petit.

Tout Philippeville se promenait  le soir le long des quais pour le voir, sa tête hors de l’eau et  l’écouter crier comme un chien. Mais, c’était en quelle année… précise t’il ?

Le saviez-vous ? Alors qui pourra nous donner quelques précisions au sujet de cet événement peu banal !

Si vous avez une idée, si vos souvenirs sont encore présents faites revivre cette anecdote en utilisant la rubrique « ajouter un commentaire » ou bien en adressant votre réponse à skikdamag@aliceadsl.fr

La suite au prochain numéro…

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Skikda : Le transport dans tous ses états …


 

 Skikda 
Échangeur, tramway, téléphérique, liaison ferroviaire et gare (…)
 

Les répercussions directes de cette mutation sur l’emploi, le commerce et même le tourisme sont certaines, bien que ce chamboulement est venu encore une fois rappeler les grands retards de développement enregistrés dans une ville aux prédestinées méditerranéennes. L’une des grandes tares que Skikda n’a cessé de traîner est indéniablement le secteur des transports.

 Etant un véritable cul de sac, la ville s’est désagrégée au fil du temps sans parvenir à assurer un schéma de désengorgement. Tous les chemins mènent aux « Arcades » et ces derniers ne mènent nulle part. La projection spatiale de l’actuelle Skikda l’a enfoncé davantage dans son chaos et a engendré les plus pénibles désagréments aux automobilistes et aux piétons. Entre temps, et au moment où on s’attelait par populisme et souvent par manque d’intelligence à « bétonner » d’autres espaces pour planter l’actuelle Skikda, on semble avoir oublié l’essentiel : les routes.

Vieux projets

On s’est juste contenté de dessiner, par fantaisie, des projets qu’on n’a cessé depuis plus de vingt ans d’exhiber lors des visites officielles pour les reclasser par la suite dans les archives. Un de ces anciens projets vient enfin de se voir dépoussiérer. Il s’agit de la nouvelle desserte dite route de l’Ilot des chèvres, un tronçon devant relier l’entrée est du port à l’échangeur. D’autres projets d’envergure sont également inscrits. Des plus importants, on retient l’échangeur sur la RN44, la liaison ferroviaire devant relier Skikda à Fil Fila, le téléphérique le tramway et aussi la future gare multi nodale. Certains de ces projets sont déjà en cours et d’autres sont en phase d’études. Pour l’échangeur, qui a été inscrit en 2003, de grands retards ont concerné ses chantiers, puisque contractuellement, il devait être achevé à la fin de juillet 2005. Lors de la dernière visite du ministre des Travaux publics à Skikda en janvier dernier, le taux d’avancement physique était de 60% avec la promesse du constructeur, Sapta, en l’occurrence, de livrer l’échangeur bien avant la fin de l’année 2006. Le chantier, qui enregistre à vue d’œil un avancement considérable, aura, une fois achevé, à améliorer considérablement les conditions d’accès et de sortie de la ville, à assurer les trafic en provenance du port et surtout à garantir une grande fluidité au niveau du passage à niveau, permettant ainsi de desservir la zone sud de Skikda. Cette œuvre d’art sera quelque part accompagnée par la desserte ferroviaire devant relier sur 20 km Skikda à Fil Fila. Un projet vieux lui aussi de plus de 15 ans et dont l’étude enregistre actuellement une grande percée, puisque c’est au courant de cette semaine que les responsables directs auront à opter pour la variante du tracé. Cette desserte sera d’un grand secours aux 50 000 habitants de Ben M’hidi et de Fil Fila et servira aussi les populations de Hammadi Krouma et de Hamrouche Hammoudi des agglomérations qui devraient êtres incluses sur le tracé. Pour le tramway, c’est le wali qui nous apprendra, il y a quelques jours seulement, que la ville de Skikda venait de réussir à décrocher l’inscription d’une étude pour la réalisation d’un tramway. L’étude sera inscrite avant le mois de juillet et le wali a laissé comprendre que l’itinéraire du tramway de Skikda devrait certainement concerner, en partie, la zone sud de la ville (Mer Eddib) pour rejoindre la commune d’El Hadaiek qui abrite l’université du 20 Août 1955. L’éventualité de retenir d’autres dessertes reste encore à envisager, et l’étude aura certainement à proposer d’autres liaisons. Pour le téléférique, le directeur des transports de la wilaya de Skikda a avancé que le projet est toujours en phase d’étude : « Nous avons déjà reçu une délégation d’une entreprise suisse intéressée par le projet qui englobe à titre de rappel les deux phases : étude et réalisation. Nous avons également à recevoir une autre délégation étrangère ces jours-ci pour le même motif, et d’après le calendrier élaboré à ce sujet et comme le stipule le cahier des charges, nous procéderons à l’ouverture des plis à la fin de ce mois. » Quant au délai de réalisation que prendra le projet, le directeur a affirmé qu’il a été fixé à 18 mois en précisant cependant que la première phase aura à assurer une liaison entre les hauteurs de Bouabbaz et le centre-ville (la gare routière). Les projets du téléférique de la liaison ferroviaire et du tramway auront à changer carrément le paysage du secteur du transport dans la ville de Skikda. Chose qui a emmené les responsables locaux à les consolider par l’aménagement d’une nouvelle gare multimodale, c’est-à-dire une gare multifonctionnelle qui servira de station ferroviaire et terrestre (taxis et bus). Elle sera implantée, selon le directeur des transports, à l’entrée de la ville (la gare El Barrani). L’actuelle gare routière sera reconvertie en station principale pour le téléphérique et pourrait, aux dires du directeur des transports, servir de gare urbaine.

K. Ouahab

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Des Philippevillois recherchent des Philippevillois !


Claude Stefanini recherche Roger FRECON, avec qui il a fait ses classes à Constantine au 1/67e RA (Quartier Gallifet au Mansourah) en 1957.
Vous pouvez joindre Claude sur sa messagerie :
ou bien en vous adressant à :
Par ailleurs qui peut me donner des nouvelles de Charly CRISCUOLO avec lequel j’ai fréquenté l’école Ferdinand Buisson (jusqu’en 1946-1947) puis le collège de Constantine (de 1948 à 1951) pour finir à la fac de droit de Grenoble (jusqu’en 1954).
Jacky
 Merci de joindre :
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La Dépêche de Constantine des 21 et 22 Août 1955


Roger MARTIRE nous adresse quelques pages de la dépêche de Constantine des 21 et 22 août 1955 et précise :

« Je les ai prise en plusieurs fois pour avoir le maximum de détails. Je n’ai pas voulu repasser le journal de peur de le perdre. Il faut passer sur les ondulations « 

Comme nous te comprenons Roger !

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Le Foot à Philippeville


L’avez – vous reconnu, ce supporter de l’E J P ? 

A Philippeville, le football était Roi ; Trois équipes – nous y reviendrons – participaient au championnat de division d’honneur : Le Racing, l’Etoile et la J.S.M.P. La semaine précédant « le » match, on ne parlait que de lui et tous les pronostics allaient bon train ;  dans celle qui suivait, on ne parlait encore que de lui…et on le rejouait, ce match : « Ah, si untel avait passé son ballon plus vite…si l’arbitre  ce vendu, il avait sifflé ce péno indiscutable, …si le goal, purée de passoire, il avait pas relâché le ballon…si, si …Et ainsi de suite jusqu’au match suivant ,où tout recommençait…

Ce fervent supporter n’est autre que votre serviteur (Jacky)…Je n’avais que 3 ans, mais déjà l’Etoile était dans mon cœur ! 

EJP Jacky_2 

LE SAVIEZ-VOUS ?  

L’EJP, «  Etoile Jeunesse Philippevilloise, » est née en 1929 de la fusion de « l’Etoile Sportive de Philippeville » et de la « Jeunesse Sportive de Philippeville »

Le dernier Président en fut le Docteur Maurice GETTE  qui succéda à M .Victor TALIERCIO.
Le Racing Club – couleurs bleu et rouge, est le doyen des clubs philippevillois; il a été créé par M.Jules GROSSO, industriel, qui en fut le 1er Président, le dernier en date étant le Docteur COMOLLI. De grands joueurs se sont illustrés sous ses couleurs, en particulier BARDOT Charles, inamovible avant centre de l’équipe de France de 1927 à 1932, plus tard André GIAMARCHI, capitaine de la France aux JO de Rome en 1960.
Le 3e grand club de la cité était la J.S.Musulmane, qui contribua elle aussi à la renommée du foot philippevillois.
Créée bien plus tard, que ses 2 glorieux aînés l’E.J.P et le R.C.P, la J.S.M.P  eut dans ses rangs de nombreux bons joueurs comme le gardien, LEFAFTA, dit « Bouba », LOUAHEM, ZIGUER le ‘rouge‘ ou encore OUDJANI Mokrane dont l’oncle, Ahmed, fit les beaux jours du RC Lens.

 

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Invitation au voyage … par Claude


 

 

                  J’étais déjà retourné à Phville…Il y a plus de vingt ans …

Mais l’envie de voir encore la ville de ma jeunesse me tenait, lancinante. Pourtant, lorsque je faisais part de ce désir, on me rétorquait « Mais qu’est ce que tu vas aller faire la – bas, tu ne vas rien retrouver, tout est différent maintenant, tu vas être déçu… »

Et bien j’y suis retourné malgré tout,  dans mon pays, et j’y ai retrouvé ce que j’étais venu y chercher : une rue étroite, de raides escaliers, un simple porche , mon école, mon lycée, mon cimetière , tellement imprégnés de souvenirs…Et des amis , beaucoup d’amis…Et je n’ai pas été du tout déçu !

Alors, si vous voulez bien m’accompagner dans mon périple, suivez moi, et je suis sûr que, vous aussi, vous ne serez pas déçus

Claude.

Pour prendre connaissance du récit détaillé de Claude cliquez sur ce lien :

http://genealogie-colatrella.chez-alice.fr/Monsiteweb/histoires/pages/page_1pag.html

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