je suis tombée par hasard sur cette vidéo et cela m’a replongée dans mon enfance passée à philippeville où je suis née ; je suis la nièce de jeannot Fabri et mes grands parents tenaient l’hotel d’Alger.

heureuse de pouvoir revivre ces différentes épisodes de ma jeunesse !!

merci pour tout cela

Bonjour l’ami de Filiville, je suis Gérard Boutonné un passionné de cuisine de chez nous, j’ai eu l’occasion de lire il y a quelques année la recette des oublis sous la signature de « je suis la fille de Celle qui vendait les oublis » Certainement votre sœur ? et depuis de temps en temps j’en fais mais a ma manière car je n’ai pas l’appareil qui coûte très cher sur internet. L’astuce consiste à diluer fortement la pâte pour la rendre liquide et donc très fine à la cuisson dans une poêle ordinaire. J’ai dans mes oreilles un bruit et un mot : Tacatacatacata… les oublis ! Et peut-être un autre mot phonétiquement plus ou moins : « talicatama » ? Une Dame avec une « caisse Norvégienne » ronde et une sangle, quel plaisir ! Que je renouvelle aux grandes occasions. Le passé dans ce domaine est présent pour moi chaque jour. Portez vous bien et a bientôt. Gérard.

Le diaporama sur « le Faubourg de l’Espérance » se veut , en citant Louis BERTRAND conservateur en son temps du Musée municipal de notre ville, d’émettre cette hypothèse sur l’origine de l’appellation de ce quartier de la ville.
Si aucun document municipal ou autre ne nous signale la motivation ayant entraîné ce choix, par contre le récit lié au naufrage du navire « Espérance » ce 25 janvier 1841 est un fait réel mentionné dans l’ouvrage de Louis BERTRAND. La création de la Société d’Entr’aide « l’Espérance » est également citée par le même auteur.
Bien sûr, toutes celles et tous ceux qui pourront apporter d’autres précisions sur ce sujet sont invités à s’exprimer à travers ce site.